J'(aime pas ce blog. La mise en page, tout. J'suis allée faire un tour sur c0wb0ys, ça m'a bien plu. Alors j'ai testé, et adopté. Bref, encore un déménagement. Le dernier, j'espère.
La suite est là: http://dawnie.c0wb0ys.org
Et une bonne grosse tranche de rigolade hier soir à la répétition de théâtre. Finalement, c'est chouette d'être avec tous des adultes, je deviens petit à petit leur mascotte. Ils sont vraiment chouettes [raaaah ça fait niais ce que j'écris! =X] et je m'entends vraiment bien avec eux, même les rares que je ne connaissais pas avant. Surtout un, en fait. Celui qui joue le rôle de mon fiancé, haha... [Et Yeye, t'auras le privilège d'en savoir plus dans la lettre que j'ai commencé hier soir XD]
Ce matin, j'ai passé une échographie du genou... Verdict: mes ligaments se portent bien, merci pour eux, et les vôtres? A se tordre de dire, je sais. La seule anomalie est [*lit le petit papier*] un "caractère redondant du tendon patellaire en extension (petit recurvatum en extension)". Ca veut dire qu'il est pas assez tendu le salopiaud. C'est tout ce que je sais, j'sais même pas si c'est à cause de ça que j'sais pas marcher et que j'ai mal.
Braiffeuh, j'étais sensée rentrer avec ma mère-grand. Sauf que j'ai oublié mes clefs. Et que donc, adieu le farniente à la maison et le confort de mon bon p'tit lit, j'suis coincée chez mon père, après avoir passé la matinée chez mon ancêtre ma grand-mère.
En manque d'inspiration. J'veux bloguer, mais j'sais pas quoi bloguer.
'Fin en fait si, y'a bien quelque chose, mais l'écrire le rendrait plus réaliste. M'enfin, poster pour dire ça, c'est con, alors autant continuer, t'façon ça changera pas le cours de votre vie [si êtres vivants qui lisent mon blog il y a]. En même temps, j'pourrais dire n'importe quoi que ça changerait pas le cours de votre vie. C'est déprimant, je sais. Mais c'est comme ça. Et puis au fond, qu'est ce que je suis, si ce n'est une poussière même pas visible au microscope dans l'immensité de l'univers? Un être invisible parmi six milliards de semblables? Sur un nombre pareil, un de plus ou de moins, ça change pas grand chose.
Revenons en à nos moutons. Toujours mal au genou depuis lundi, j'suis finalement allée aux urgences. Résultat: on ne sait rien faire pour calmer la douleur, si ce n'est immobiliser et marquer avec des béquilles, ce que je fais depuis une semaine. Dois faire une échographie [du genou, je précise] pour voir s'il n'y a pas de déchirure musculaire ou ligamentaire. Et aller chez le chirurgien. Parce que ma rotule a de nouveau une tendance à la sub-luxation. Et qu'il faudra peut-être ré-opérer. Et putain je veux pas... Les douleurs à se tordre, pas trouver de position, l'immobilité forcée, les mois de rééducation, les tonnes de médicaments... Non, je veux pas. Je ne veux plus revivre ça, jamais.
Et puis là j'vous laisse parce qu'il y a Desperate Housewives à la télé, ça me changera les idées. Et après je regarderai Mon Idole, une thérapie de 110 minutes de Guillaume Canet devrait améliorer mon état moral. [♥]
Pas à l'école, toujours pour cause de déboîtage de genou. J'y suis allée hier, trop pénible. J'vais tenter de me remettre sur pieds (au sens propre) ce week-end.
En attendant, Jambe Raide est couchée dans son lit/étendue sur le canapé/installée dans le fauteuil en train de dormir/lire/comater devant la télé. Rayer les mentions inutiles. Si mentions inutiles il y a...
Toujours est-il que j'en suis arrivée à lire Le Journal de Bridget Jones. Ai vu le film il y a quelques années mais jamais lu le livre, ni vu/lu la suite.
J'ai l'impression de me voir dans dix ans. Qui a dit qu'on ne pouvait pas lire l'avenir?
Bon, d'accord, j'en suis pas encore au point de compter les unités d'alcool ni les cigarettes mais bon, prenons au hasard (ou presque), l'introduction du samedi 12 août: (...) minutes passées en conversations imaginaires avec Daniel: 120, minutes passées à imaginer que Daniel me supplie de lui revenir: 90.
Même si le nombre me parait légèrement excessif et que Daniel serait à remplacer par Thibaud, je me sens quand même vachement concernée. Oui, Thibaud. C'est clair que j'ai fait un pas en avant, que je m'en détache, que « je m'ouvre des horizons », le monde ne s'est pas fait en un jour.
Et j'pense que rester seule sans savoir bouger des journées entières, ça n'aide pas non plus à se projeter dans un avenir heureux plein de bisous-bisous calins-calins pour la Saint Valentin.
Et puis Internet fait chier en ce moment. Pas moyen de venir sur madmoiZelle. Sur MSN non plus.
... ou Robocop, c'est au choix. Doux surnoms que je dois à l'attelle qui m'enserre la jambe gauche.
J'ai toujours détesté le volley-ball. Sauf que d'habitude, c'étaient les doigts qui morflaient.
Et dire que cette année, je m'en sortais bien, limite je m'amusais. Et je ne parle pas de l'imitation de la poule qui couve le ballon avec ses attributs purement féminins avec Laura. Enfin pas uniquement. Ni des rires en cascade quand il y en a une qui se prend le filet en pleine face.
Cette année, j'arrivais à toucher le ballon et à faire une passe correcte.
Ce matin, après avoir comme d'habitude essayé d'arriver après les trois tours de terrains réglementaires, quelques échauffements, divers exercices, puis un match. Haha, j'étais pas sur le terrain depuis deux minutes que je suis ressortie. On m'envoie un boulet de canon, j'avance, je bloque, shkraaak shkrak. Shkraaak, c'était mon genou qui se déboitait. Shkrak, c'était mon genou qui se ré-emboitait. J'ai oublié shbong. Le ballon qui s'écrase sur le sol (et nous fait perdre le point).
Bref, douleur très douloureuse. Et puis la pétoche aussi. Ca veut dire que ça va recommencer comme avant? C'était plus arrivé depuis l'opération. Scier un morceau d'os, le revisser plus loin, descendre la rotule, étirer le ligament externe et pincer le ligament interne. Ca n'aurait servi à rien? Je vas attendre avant de tirer des plans sur la comète, quand même.
A 13heures, de retour chez moi. Béquilles, attelles, calmants, pommades, j'ai tout ce qu'il faut.
Et puis théâtre ce soir, surnommée Monopatte. D'habitude, c'était L'écloppée. Ou Robocop, par mon médecin.
Une semaine d'immobilisation, et puis on verra la suite...
Les posts inintéressants commencent. Après tout, c'est le but de ce blog, isn't it?
Bref, après quelques jours de convaclescence post-charcutage de machoires, j'suis retournée au bahut vendredi. En arrivant, les keupines me disent qu'elles m'ont portée volontaire pour les accompagner au cimetierre. Huh? Ouais, commémoration pour la Shoah. Et puis j'étais bien contente, parce que c'est un sujet qui me tient à coeur... On y était déjà allées l'année dernière, en plus. Bref, après physique / histoire / maths, direction pipi-room au pas de course histoire de pas danser d'un pied sur l'autre devant le monument au morts. Après, les profs nous ont envoyées chercher des volontaires parce qu'on était juste trois pour représenter l'céole. Sauf que vu la température extérieure, trois nous étions, trois nous sommes restées. 2 profs et la directrice pour accompagner 3 élèves, ça le fait...
Embarquement avec la prof d'anglais, moi en co-pilote, puisqu'elle a un sens de l'orientation pire que celui de ma grande cousine, et je ne savais point que c'était possible. Et puis j'connaissais le chemin, parce que c'est pas loin de chez moi. Bref, elle nous a une fois de plus raconté sa vie, ainsi que celle de son compagnon qui-est-en-procès-avec-la-ville-de-Bruxelles-parce-qu'il-y-a-3-ans-des-décorations-de-Noël-sont-tombées-sur-sa-voiture. Et de conclure par un "Il est naïf, j'avais jamais vu ça!"
Rentrée vers 12h25, juste à temps pour ma répétition de théâtre pendant le temps de midi, pour cause de concours le lendemain. Après-midi des plus banales, puis théâtre. Grande première, ce sont les frères de ma môman qui sont venus me chercher et, juste quand j'ouvre la portière, Guigounet me lance un très sonore "Mademoiselle! T'es belle comme une gazelle!", ça a régalé les tontons.
Et le soir, la soirée (mouahahaha) tant attendue du bahut, une fois par an, que j'ai loupé l'année dernière. RAS, j'suis partie dans les premiers de la bande.
Parce que j'devais me lever tôt le lendemain moi... Pour sortir du lit à 7h30 en m'étant couchée 5 heures plus tôt, j'vous raconte pas le truc. Concours provincial de scènes à deux, on est passées les premières. En bref, je revis sur scène le moment où j'ai coupé mon mari en rondelles avec un couteau électriquue à 199 francs, et autres délires de psychopathe. Assez éprouvant. Et puis on saura dans le courant de la semaine si on est qualifiées ou non.
EDIT: On n'est pas qualifiées pour la demi finale, mais c'est pas grave. T'façon, c'était difficile de se voir pour répéter à cause de nos emplois du temps. Ce qui me fait chier, c'est le sabotage dont on a bénéficié de la part du responsable du théâtre.
Bon, j'm'explique.
J'étais sur 20six, puis la migration de ces derniers jours ne me plaisant pas du tout, mais alors vraiment pas du tout, je déménage. Encore nostalgique de ma mise en page d'avant, de ce blog que j'aimais tant... Je fais dans le poétique, 'tention ça va chouiner.
Laissez-moi un peu de temps pour me familiariser avec ici, siouplait. Merci ma bonne dame.
